LÉtalon De La Première Fois (Deuxième Partie)
Deuxième partie : Létalon de la première fois
Je clique sur le fichier de la deuxième vidéo, il était 18H30 du même jour de la première baise.
Là cétait dans la chambre, caméra cachée dans larmoire, porte entre-ouverte à un angle où on voyait toute la surface de notre lit, la porte de la chambre et une partie du miroir de la coiffeuse qui reflétait limage totale du matelas où elle aimait jeter un coup dil quand je lui faisais lamour.
Elle arrivait la serviette de bain remontée jusquà sa poitrine avec un nud cachant ses beaux seins encore fermes. Lui aussi la suivait avec également une serviette de toilette autour de sa taille.
Elle lui tenait la main et lattirait au pied du lit. Elle lui donna du dos et se colla à lui, frottant son cul à son bas ventre, à son pénis sous la serviette.
Il passa ses bras autour de la poitrine de ma femme, descendit un peu la serviette et pris dans chaque main un sein quil commença à pétrir et ses lèvres sattaquèrent au cou de lexcitée, remontant jusquà la base de son oreille droite. Ce qui lui donnait des frissons et du plaisir. Elle gémissait déjà. Elle retourna sa tête, les yeux fermés, recherchant la bouche de son amant qui lembrassa avec fougue longtemps. Et leurs lèvres se pressèrent, se croisèrent et les langues se frottèrent et leur bouche les sucèrent avec des « Mmmm ! Mmmmm ! »
Cette vue était appétissante. Les serviettes tombèrent à leurs pieds, lui avait le calibre prêt au combat.
Elle se retourna, passa ses bras autour de son cou, les baisers redoublèrent dintensité et ses seins vinrent sécraser sur le buste dessiné de Fouad ; lui ses mains étaient sur les fesses de son amante allumée. Sa verge était dressée, passait entre les cuisses de madame, sous, frottant la partie inférieure de la chatte sans pénétrer.
Elle se détacha pour sasseoir sur le bord du lit à hauteur du sexe de son étalon quelle caressa lentement, le lécha de sa langue experte, sattarda sur la pointe qui le fit frémir, ensuite elle lavala dans sa bouche et commença une fellation rapide lubrifiée de sa salive et lengin doubla de volume.
- Mmmmm ! Je ladore, jen ai envie ! jai hâte que tu me le mettes dans ma chatte qui est à toi !
Je savais que ses paroles allaient davantage exciter le jeune homme qui de suite la poussa sur le dos, sur le lit, mit un oreiller au sol, sagenouilla dessus, la tira vers lui et lui écarta les jambes. Il avait la minette à portée de sa bouche. Il sempressa de la sucer, de passer sa langue entre les lèvres du vagin, lécha longuement le clitoris qui pointait sous les gémissements répétés de ladultère qui se tordait de plaisir. Il continuait encore et encore et samusait à pénétrer sa langue dans sa chatte bien lisse, dodue, enflée de régal et suintante.
- Ouiiiiiiiii ! Encore mon trésor ! Ouuiiiiiiiiiii mon salaud tu sais bien le faire. Encore !
Après sêtre donné à cur joie, il vint sallonger derrière elle, releva sa jambe droite et enfonça sa verge qui se frayait doucement le chemin entre les lèvres charnues de la minette qui sécartèrent pour la laisser disparaître totalement au fond pour débuter un va et vient avec un son qui me fit bonder aussitôt. Et je voyais bien la scène devant mes yeux. Dans cette position nette, il le retirait jusquau bout dont on voyait le contour mais sans le sortir et lenfonçait jusquaux couilles. On apercevait les traces blanches parce quelle devait mouiller encore et encore sous les pénétrations répétées et savoureuses. Et elle gémissait de plus belle et retournait sa tête pour retrouver les lèvres de son complice qui lembrassa voracement. Il passa sa main au-dessus du ventre de ma femme et alla trouver son clitoris quil frotta de son index et lautre main venait pétrir son sein. La cadence était maintenue jusquà lorgasme de lenflammée qui poussa alors son premier cri de jouissance.
Il se mit sur les genoux, lapprocha vers lui en lui écartant les jambes et se plaça au milieu entre ses jambes et introduisit une nouvelle fois son pénis lorsquelle murmura ravie :
- Ouiiiiiiii ! Baise-moi encore ! Dévore ta chatte ! Elle est à toi !
En position du missionnaire, il la ravagea et je voyais son sexe allait et venir sans fin, lubrifié du liquide laiteux de ma salope qui en demandait plus, affolée de la virilité du jeune voisin.
Il sallongea sur elle, buste contre poitrine où ses seins à elle furent écrasés, recherchant les baisers fougueux et appétissants au ballet des langues. Elle passa ses bras derrière lui, sur son dos et le caressa de ses ongles. Il plaça ses bras sous ses jambes pour les relever en lair et redoubla dénergie à mieux la pénétrer, et je voyais ses testicules se cogner à son vagin rougi de pénétration, son bidule napparaissait plus, il demeurait bien en dedans. Elle se faisait toute la longueur et lépaisseur à fond
Il accéléra encore et encore et enfin, elle explosa en criant pour son deuxième orgasme.
- Aaaahhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiii ! Tu es un champioooon ! Ouiiiiiiiiiii mon amour !
Lui, se retenait toujours, un vrai champion tel quelle le décrivait.
Le phallus de Fouad en voulait autant et il décida de la prendre en levrette, elle sexécuta, se retournant de suite sur les genoux, lui offrant son postérieur veillant à écarter les jambes, les cuisses bien faites où se dressait, lustré et empourpré au centre, le sexe toujours en effervescence de la félonne.
Elle sappuya sur ses coudes relevant ainsi ses hanches, il trotta sur ses genoux vers elle, la bite dans une main et la dirigea droit au milieu de la vulve béante à dimension de ces délicieuses pénétrations. Il lentra rondement, deux coups de rein et il lenvoya plus loin ce quil la fit limplorer de délectation. Il prolongea ses va-et-vient sous le bruit distinct du frottement de lexquise baise.
Cette vue mexcitait encore plus, je sortis mon sexe bondé et me caressais sans perdre une seconde de cette étreinte et là, surprise
Il avait remarqué lanus tout rose, se dilater et se refermer au rythme de ses coups de rein. Il mouilla alors dans sa bouche son pouce droit et se mit à le caresser en faisant de petits cercles autour.
Etonnant ! ma femme ne me permettait jamais de le toucher depuis notre rencontre à ce jour.
Elle ne disait rien, bien au contraire, elle saffaissa de toute sa poitrine, écrasant ses seins sur le matelas, remontant plus ses hanches comme réponse positive aux intentions de son fougueux partenaire.
Il ajouta lindex qui disparut à son tour en compagnie de lautre doigt et remarquant son mutisme, essaya lauriculaire et après plusieurs essais, réussit
Là, elle bougea un peu comme pour mieux se positionner et lui murmura :
- Retire de la coiffeuse le gel !
Elle resta dans sa position attendant quil ramène le produit. Une fois trouvé, il en mit sur toute la surface de sa verge bien tendue pour laction désirée de mon épouse.
- Vas-y Fouad encule-moi ! Mais vas-y doucement au début !
Il ne se fit pas prier une seconde fois. Il se tint debout derrière elle, se pencha en avant, prit son magnifique arsenal et le dirigea vers lanus qui continuait à se dilater et se refermer de stimulation. Il en mit une bonne quantité de gel et doucement fit disparaître le bout en entier
- Doucement mon trésor ! Doucement ! Aaaaaahhhh ! Ouiiiiiiii !
La moitié était déjà rentrée, il poussa encore un peu plus et enflammé, il commença à lenculer et elle gémissait de plus belle
Et ses seins se balancèrent dans tous les sens
Ses fesses charnues se secouaient et enveloppaient la verge ferme de Fouad. De temps en temps, elle lui écartait un côté pour quil laccède mieux. Il la prenait par les hanches et la tirait vigoureusement à lui. Cétait un spectacle trop alléchant, je me masturbais
Moi, je naurai jamais imaginé quun tel calibre pouvait lui être introduit dans con cul. Mais je la voyais quelle en avait vraiment envie, quelle aimait cela et quelle se tordait de plaisir et de plainte perverse.
Sans le sortir, il la poussa sur le côté et sallongèrent, lui derrière, toujours en elle et il lenculait encore et encore. Elle implorait plus et commença à caresser son clitoris, retourna sa tête, les yeux fermés, en pleine extase et entrouvrit sa bouche où il posa la sienne pour des baisers torrides.
Il passa un bras sous la taille de ma femme et sa main alla chercher sa chatte où il enfonça le majeur et de lautre main prit le sein gauche quil pétrit fortement. Il redoubla la cadence et lui ébranla le derrière, une fois ou deux son pénis sortait et je remarquais le trou béant du cul de lallumée qui avait pris le diamètre du calibre de son viril partenaire. Il le faisait entrer sans peine et à chaque fois, elle le désirait se collant davantage à lui :
- Ouiiiiiiii ! Ouiiiiiiiiii ! Que tu baises bien ! Encore ! Encore Fais-moi mal ! Donne-moi du plaisir mon trésor ! Ouiiiiiiii ! Aaaaaahhh !
Il se releva, la mit sur le bord du lit, lui releva les jambes en lair et enfonça de nouveau son sexe splendide dans cet anus qui restait grand ouvert en attente de la suite
Son rythme avait doublé et ses gémissements à elle plus fort. Elle le prenait jusquaux couilles qui se heurtaient contre son cul, de toute sa longueur et son épaisseur. Elle atteignit un autre orgasme en criant :
- Ouiiiiiii ! Ouiiiiiii !
A ce même moment, il éjaculait en elle disant les mots quelle prononçait et lenfournait bien dedans jusquà la dernière goutte de son sperme qui ressortait et sécoulait le long de la faille du cul de mon épouse satisfaite de ses ébats.
Il sallongea sur elle, lembrassa longuement, suça un téton et se leva, le pénis toujours tendu
Elle se redressa, le prit tout trempé de sperme dans sa main et le mit dans sa bouche pour avaler le jus qui restait. Il faisait des sursauts à chaque lèche. Il la rallongea, toujours sur le bord du lit et termina par introduire une nouvelle fois son machin dans sa chatte et lui donna quelques minutes de plus de plaisir intense. Et, il rééjacula dedans et demeura en elle un bon moment, allongé tous les deux.
A mon tour, jenvoyais la sauce surexcité et content davoir joui devant une scène pareille digne de film pornographique avec ma femme pour actrice. La salope, elle savait se faire baiser. Elle venait de métonner dune part et de me ravir de lautre.
Cet homme est un monstre, dune virilité et longévité sexuelle sans égal. Il est unique et extraordinaire et il avait trouvé en elle les délices de tous ses fantasmes et un corps qui le comblait. Quelle chance ils ont eu tous les deux de se rencontrer, surtout lui, pour une belle femme comme elle au corps de vénus.
Cétait la naissance de deux amants qui vont connaître à chaque rencontre le paradis du sexe, dans toute sa beauté, à leurs désirs, leurs plaisirs et leurs orgasmes.
Avant déteindre le PC, une amertume me gagnait car jen voulais en voir dautres escapades et je souhaite en découvrir. Si seulement, je pouvais me joindre à eux et vivre le candaulisme en direct.
Qui sait
? Peut-être réussirai-je à la convaincre que je suis daccord pour quelle trouve le plaisir devant moi avec un étalon plus jeune que moi de plus que la moitié de mon âge. Pour la satisfaire et lui donner lorgasme dont elle se réjouis de recevoir de lui. Je serai le spectateur privilégié. Je pense que je vais lui en parler en lui avouant avoir vus les vidéos et que cela mavait beaucoup excité et plu et que son choix est superbe et que je lencourage à me fasciner avec dautres réjouissances.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!